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Rose-Marie PAGNARD

Il y avait la paix, une synagogue, une église, un château, une école, des riches, des pauvres, la campagne, mon père et ma mère : là, je viens au monde. Ma seule amie est Hongroise Je joue du violon, je fais de la danse classique. A dix-huit ans, j’habite à Bâle avec mon mari René Myrha, peintre et scénogaphe. Nos filles s’appellent Cléo (1963-1994) et Géraldine (1964).  La moindre injustice me révolte, la moindre bonté me fait grandir et aussi m’est nécessaire pour vivre et pour écrire. Tout ce qui est fragile en nous et dans l’état du monde m’inspire, et aussi ce désir d’être aimé que ressentent les êtres en marge, les visionnaires, les créateurs, les artistes, les enfants. Traductions, chroniques littéraires, journalisme ; puis les premières nouvelles et premiers romans de fiction, dont La périodeFernandez (Actes Sud, prix Dentan), Dans la forêt la mort s’amuse (Actes Sud, prix Schiller), Revenez chères images, revenez (Le Rocher),  Janice Winter (Points Seuil), Le Conservatoire d’amour (Poche Zoé), J’aime ce qui vacille (Zoé, prix suisse de littérature), Gloria Vynil (Zoé)… Aujourd’hui, j’habite saux Breuleux, un village du Jura suisse. René peint, j’écris, parfois nous créons quelque chose ensemble.

La femme dans la cabine du grutier

nouvelle

Ses contributions

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